Une nouvelle grâce pour chaque épreuve de Joseph Prince (264) – Partie 4

*L'attitude de Jésus :

Tu prends une gageure avec un ami et c'est lui qui a perdu. Il doit donc te payer la traite. Au restaurant, il paye pour toi, mais son comportement est tellement désagréable. Il a une très mauvaise attitude. Son agissement fait que son action devient redondant. Est-ce qu'il t'a payé la traite? Oui, l'acte a été faite, mais son comportement était mauvais. Regarde au style de pardon de Dieu et le moment que tu le vois : bang... la faveur et la paix se multiplieront dans ta vie.

Simon, un pharisien a demandé à Jésus d'aller manger chez-lui. Durant la soirée, Jésus lui a posé une question : Luc 7 : 41. Un créancier avait deux débiteurs : l'un devait cinq cents deniers, et l'autre cinquante. 42. Comme ils n'avaient pas de quoi payer, il leur remit à tous deux leur dette. Lequel l'aimera le plus? 43. Simon répondit : celui, je pense, auquel il a le plus remis. Jésus lui dit : tu as bien jugé. Il leur a remis sans rien demander en retour, gratuitement. Le créancier est Dieu et les débiteurs, ce sont nous. Chacun de nous, nous avons une dette de péchés envers Dieu. C'est d'être gratuitement pardonné, sans condition, sans être grondé et sans réprimande. Dieu n'est pas satisfait de juste pardonner, Il veut que nous sachions comment : gratuitement. Souvent nous projetons sur Dieu, notre manière de pardonner. Nous ne pouvons pas mettre Dieu au même niveau que l'homme.

Luc 15, parle de 3 paraboles, la brebis égarée, de la drachme perdue et de l'enfant prodigue. Le berger a perdu une brebis et il laisse les 99 autres pour trouver celle qui était perdue. Lorsqu'il l'a retrouvée, il l'a mise sur ses épaules. Il n'est pas mentionné qu'il l'a grondée. C'est une image de Jésus qui te met sur ses fortes épaules et Il s'en réjouit. C'est ce qui a satisfait son cœur. Au verset 6. Et de retour à la maison, il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit : réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis qui était perdue. Il a appelé ses voisins pour leur dire qu'il avait retrouvé sa brebis et pour faire une fête. C'est parce qu'Il t'aime. Il n'a pas dit un mot au sujet du prix que tu Lui as coûté et de la difficulté qu'Il a eu à te trouver ou le temps et l'énergie qu'Il a perdu. Il s'est juste réjoui de t'avoir retrouvé. La parabole suivante est sur une femme qui a perdu une pièce. Elle l'a cherchée avec soin. C'est une image du Saint-Esprit. La dernière parabole est au sujet du fils qui veut son héritage. De faire une telle demande, pour un juif, était une très mauvaise chose. C'était comme s'il disait à son père qu'il était incapable d'attendre la mort de son père pour recevoir son héritage. Au verset 20. Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa. Ce n'est pas assez d'avoir permis à son fils de revenir, il a couru vers son fils. Peux-tu t'imaginer Dieu qui court vers lui.